Et nous retrouvons l’océan à Copão da Canoa.
Vendredi 1er Août :
La route passe entre océan et le grand lac dos Pastos : Imbe, Tramandai, Mostardas, P.N. da lagoa do
Peixe, Tavares. Dans cette presqu’ile toute en longueur, de nombreux lacs
et une faune riche en oiseaux. Mais notre route n’approche à aucun moment l’un
ou l’autre, pas de pistes indiquées sur la carte ou le GPS. Le bivouac indiqué
par les Ravaux dans le PN est inaccessible, bourbiers et passerelle détruite.
Nous arrivons à Tavares
bien deçus.
L’hotel Parque da lagoa nous accueille sur son aire de
camping près de la piscine, bon accueil et rencontre avec des 4x4 de tour
operator. En fait, pas de piste qui longe la mer, il faut rouler sur la
plage ! Et pour les pistes vers les lacs, faut connaitre, aucune indication…Dommage,
on a raté la portion de littoral entre Quintao et Mostardas avec plein de
petits lacs. On essayera de se rattraper demain en allant plus au sud…
Samedi 2 :
Départ tardif afin de mettre le blog à jour.
2 km après Bujuru, nous rejoignons l’océan et en
avant sur la plage !
Nous rencontrons des pêcheurs qui sont à l’œuvre depuis 5 h.
et voilà leur moisson :
Mais l’orage d’a-m (comme la veille) nous incite à rapidement
poser le camp dans les dunes :
Dimanche 3 :
Séance « rouler sur la plage » :
Puis nous rejoignons San jose do Norte pour prendre le ferry
qui nous amènera à Rio Grande. Et en
attendant le bateau, nous nous offrons un « buffet libre » aux fruits
de mer, ils se sont gavés les Zwan !
De Rio Grande à Cassino,
longue traversée de zones industrielles et portuaires ; le temps est
gris ; Cassino est peu attrayant. Halte dans un camping, histoire de
trouver protection avec l’orage qui s’annonce et de l’électricité pour le
radiateur (les nuits sont assez fraiches).
Lundi 4 : encore rouler sur la plage !
Une cinquantaine de km de plage à perte de vue, beaucoup plus
de rios à traverser (bien ralentir car leur lit fait une bonne marche souvent),
nous sommes à marée montante et parfois on hésite à traverser ! Nous ne
sommes pas les seuls et c’est l’occasion de casser la croûte avec un ouvrier
brésilien en charrette qui hésite lui aussi : 2
Et pas évident de trouver la piste qui nous permettra de
rejoindre la route goudronnée à plusieurs km de là !
C’est au phare de
Sarita qui nous trouverons issue !
Toute cette région est entre mer et lacs, donc marécageuse.
Vers la réserve de Taim, nous nous régalons à voir les oiseaux et autres
animaux :
A une station, nous rencontrons 2 cyclistes partis du Chili
pour le Mexique. Nous bivouaquons à leur côté, dans la belle herbe du poste
militaire inoccupé, histoire de faire causette.
Qui va croire que les Zwan voyageraient en vélo ? |
Mardi 4 :
Enfin le soleil, mais il fait frisquet !
Chuy et sa zone
franche, mais comme d’habitude nous ne trouvons pas les tarifs très
intéressant.
Pas plus cool que la frontière brésilienne, les formalités
sont au plus simple.
Direction la frontière uruguayenne…
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