16 et 17 juillet :
Nous faisons le tour de cette baie; d'abord par le nord jusqu'à Guaraqueçaba, avant de la suivre vers le sud et Paranagua.
La côte est très découpée, avec une végétation allant jusqu'à ses rives. De nombreuses iles, comme nous avions pu le voir du cargo lorsque nous avions accosté à Santos (vers Sao Paulo).
Antonina :
nous posons le Gros dans un petit camping, proche de la plage, et allons profiter du coucher de soleil.
Guaraqueçaba :
La piste de 60 km traverse palmeraies, bananeraies et pâturages alternant avec une forêt dense.
Cette partie nord de la baie offre de nombreuses zones protégées et plusieurs iles. Nous n'irons pas les voir en bateau car le temps s'est couvert.
Le point d'info touristique est une catastrophe ! ne parle rien d'autre que le brésilien, aucun dépliant des coins à visiter et incapables de nous renseigner sur les trajets en bateau, ils servent juste à faire déco dans le port ! Ils nous trouvent quand même où dormir car pas de camping ici.
La posada Chaua nous accueille dans son jardin.
Vue sur la baie avant notre arrivée au port,
la place-port de Guaraqueçaba |
Quelques vues en longeant le rivage :
Une race de zébus que nous voyons pour la 1ère fois ici :
18 et 19 : rés
nat. De Salto Morato
Située à 12 km avant Guaraqueçaba, au pied de la montagne,
nous sommes bien tentés d’aller y faire un tour. Bien nous en a pris car c’est
le camping le mieux et le moins cher jusqu’à maintenant. Tout est là pour
passer un bon séjour (barbecue, douches chaudes et sanitaires modernes, tables
sous abris…) au milieu de la nature et du chant des oiseaux.
Nous y avons fait les 2 ballades.
Une de 3h. jusqu’au figuier
géant :
Une de 2h. jusqu’à
la cascade :
Et petite série
nature :
Une minuscule grenouille qui s’est laissée photographier tout
le temps voulu, toute occupée à ne pas bouger afin de se fondre dans le
milieu.
De beaux papillons dont voici un exemplaire
Des broméliacées aux fleurs variées
Des oiseaux de paradis à profusion
Et la nature géante
Dimanche 20 :
Puis nous repartons en longeant la côte vers le sud. Encore
une impression de se retrouver chez nous : des villes balnéaires avec
immeubles ou résidences, une côte qui ne dépayse guère…Difficile de trouver un
endroit où se poser, en saison basse les campings sont souvent fermé et les interdictions
de stationner fleurissent. Nous nous résignons à dormir à l’hôtel !
De Caioba à Guaratuba : passage en bateau du
bras de mer.
Et nous passons dans l’état de Santa Catalina…
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